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À Paris, la déprime des grands appartements :

Publié le par Nordin Rodrigue

« Dans la capitale, les grands appartements "collent au stock" », confie un agent immobilier. Ce qui signifie, dans le jargon des professionnels, que les grandes surfaces sont devenues particulièrement difficiles à vendre. « Il n'y a jamais eu autant de grands appartements sur le marché. C'est le segment qui souffre le plus actuellement à Paris. En un an, le délai pour vendre un quatre pièces est passé de 54 à 73 jours dans notre réseau », confie Fabrice Abraham, président de Guy Hoquet.

Cette déprime surprend d'autant plus les professionnels que ces biens étaient parmi les plus recherchés lorsque le marché était euphorique, jusqu'en 2008. D'après les notaires parisiens, le prix des appartements de plus de 100 mètres carrés s'est tassé de 3,9 % en 2013 et de 1,7 % sur les 11 premiers mois de 2014. A défaut d'être spectaculaire, le retournement est patent puisque ce type de bien s'était apprécié de près de 10 % par an entre 2000 et 2008, à l'exception de l'année 2001 (+ 1,9 %).

Une analyse plus fine montre que la décrue est plus forte dans les arrondissements du centre et de l'ouest. Entre 2011 et 2014, les prix moyens passent ainsi de 14 260 euros à 12 550 euros dans le 7e (- 12 %) et de 10 940 euros à 9 850 euros dans le 1er (- 10 %). En revanche, ils n'ont quasiment pas bougé dans les 10e, 11e et les arrondissements de l'est. « Cela montre que ces zones bénéficient du rééquilibrage des prix entre l'est et l'ouest de Paris », explique M. Abraham.

Dans le 16e, la situation est contrastée. En apparence, les prix semblent résister : entre 2011 et 2014, le prix moyen des appartements de plus de 100 mètres carrés est passé de 10 070 euros à 9 340 euros (- 7,2 %). Mais ces chiffres cachent des réalités très différentes selon le type de biens.

Dans cet arrondissement emblématique de la capitale, le plus riche en grandes surfaces d'habitation, le stock d'appartements haussmaniens à vendre a considérablement gonflé, au point de déséquilibrer le marché. Les plus difficiles à vendre sont les biens défraîchis avec de grands couloirs, soulignent les professionnels, car la répartition de l'espace y est peu optimale et la perspective de travaux fait fuir les acheteurs.

« Les prix de ces appartements ont baissé de 25 % à 30 % par rapport au sommet de 2011, confie Thibaut de Saint-Vincent. S'ils présentent des défauts, la baisse par rapport au prix affiché peut dépasser 30 %. » Dans le haut de gamme, les biens de plus de 250 mètres carrés, sans vue exceptionnelle, sans terrasse ni jardin, souffrent particulièrement.

« Ils n'intéressent pas la clientèle étrangère ou provinciale. Et ils ont 100 mètres carrés de trop pour les familles françaises qui, même si elles en ont les moyens, refusent de payer pour une surface dont elles n'ont pas besoin », explique Charles-Marie Jottras, président de Féaux, spécialiste de l'immobilier de luxe en région parisienne.

Dans les beaux quartiers, les prix de certains grands appartements démarrent donc à des niveaux jamais vus depuis dix ans. Avenue Victor Hugo, un bel appartement est ainsi à vendre pour « seulement » 7 500 euros du mètre carré. « Il serait parti à 11 000 euros en 2011 », confie M. de Saint-Vincent.

L'emplacement reste déterminant : si le triangle d'or (8e arrondissement) continue de séduire les acheteurs du Moyen-Orient, tandis que les Américains et les (rares) Européens préfèrent la rive gauche, le 16e « familial » côté Auteuil ou Passy ne les attire pas. Même pour les biens dits « d'exception », la raréfaction des acheteurs étrangers, qui animaient ce marché dans les années fastes, se fait durement sentir.

Le PEL, dont la rémunération baisse d'un point, n'aura peut-être pas perdu tout son intérêt le 1er février...
Alors que le taux du livret A est maintenu à 1 %, celui du PEL est abaissé à 2 % au 1er février. Soit une baisse de 0,5 point. Or, à cette date, le taux d’intérêt maximal pour ceux qui choisissent d’utiliser leurs droits à prêt passera de 4,20 % à 3,20 %. Ceux qui s'en servent comme livret d'épargne ont intérêt à courir en ouvrir un avant le 1er février, mais ceux qui souhaitent en ouvrir un dans l'objectif d'acheter un bien immobilier peuvent attendre encore un peu !

C'est en tout cas ce que l'on conseille chez Vousfinancer.com. En effet, « si le taux de 3,20 % n’est pas compétitif aujourd’hui, a fortiori sur une durée inférieure à quinze ans, il ne faut pas oublier que les droits à prêt sont ouverts au minimum après quatre ans et jusqu’à quinze ans. Or, il est très probable que d’ici là les taux auront augmenté d’au moins 100 points de base », explique aux Echos Sandrine Allonier, responsable des relations banques du courtier.

Les taux, qui ne cessent de battre des records d'attractivité, devraient en effet augmenter progressivement. Rappelons qu'hors intérêts, un PEL peut contenir jusqu'à 61 200 euros. Passé dix ans, on ne peut plus effectuer de versement, mais celui-ci continue de produire des intérêts pendant cinq ans. Après quinze ans, le PEL devient un livret d'épargne classique, rémunéré à un taux qui lui est propre.

LaVieImmo.com Publié le 26 janvier 2015

Les prix en Ile-de-France devraient rester orientés à la baisse, selon les professionnels.Le mouvement baissier des prix est parti pour durer dans la région, de l'avis des professionnels de l'expertise immobilière. Le mouvement baissier des prix est parti pour durer. 76,9 % des membres de l'Institut français de l'expertise immobilière (IFEI) « anticipent en 2015 une orientation baissière du marché immobilier de l’habitation sur l’ensemble du territoire ».

Ce qui doit être nuancé selon le secteur. A Paris, plus de 7 professionnels sur 10 (70,6 %) privilégient le scénario d'une « baisse raisonnable des prix de vente des logements », de 5 % pour 61,2% d’entre eux. Mais en région parisienne, la tendance devrait être plus marquée en 2015. « C’est une opinion baissière beaucoup plus significative qui est envisagée puisqu’elle est partagée par 82,4 % des membres en 1ère couronne et 89,4 % en 2nde couronne », ajoute l'IFEI. Les prévisions sont à plus de 5 % de baisse.

LaVieImmo.com Publié le 28 janvier 2015

Très apprécié, largement utilisé et fortement regretté, il fait un retour remarqué en ce début d'année. "Il", c'est le Prêt à taux zéro qui permet, à nouveau, d'acheter dans l'ancien. Et même s'il est plus encadré que par le passé, sa version 2015 permet de financer son achat immobilier à moindre coût.

Abandonné en 2012, le Prêt à taux zéro, accordé pour financer un bien immobilier ancien, a suscité bon nombre de déceptions, au point d'être accusé de pénaliser les transactions immobilières. Mais un décret publié au Journal officiel du 31 décembre 2014 confirme son retour, mais fixe des conditions un peu plus restrictives.

Comment en profiter ?
Le Prêt à taux zéro veut encourager la revitalisation des zones rurales, c'est la raison pour laquelle seules les villes de moins de 10 000 habitants sont ouvertes au dispositif. Cela concerne près de 6 000 communes connaissant un niveau de vacance élevé du parc de logements, retenues par décret, dont voici la liste : communes éligibles PTZ ancien.
D'autre part, le bien acheté doit faire l'objet de travaux de rénovation pour un montant au moins égal à 25 % au coût total de l’opération. Mais précisons que ces achats immobiliers bénéficieront d'un PTZ aussi avantageux que pour une construction neuve.

Dans quelles conditions ?
Le Prêt à taux zéro (PTZ) est accordé, sous conditions de ressources, aux personnes qui souhaitent acquérir leur première résidence principale. Par exemple, les revenus d'un foyer de 4 personnes, résidant en zone B2, ne doivent pas excéder 52 000 €. Dans ce cas, leur projet ne devra pas dépasser 270 000 € et ils pourront obtenir un Prêt à taux zéro d'un montant maximal de 70 200 €. La durée de remboursement du PTZ dépend des revenus et dure, selon les cas, de 12 à 25 ans.

Article mis en ligne le 27 janvier 2015 - Publié le 5 janvier 2015 Ministère du Logement, de l’Égalité des territoires et de la Ruralité

Les primes s'envoleront pour les particuliers dépourvus du détecteur de fumée. Les particuliers qui n'installeront pas de détecteurs de fumée chez-eux après le 8 mars, date à laquelle ils deviennent obligatoires dans les foyers, ne risquent pas la non-indemnisation en cas de sinistre. Mais les primes augmenteront !

Vous ne voulez pas installer de détecteur autonome de fumée chez vous à la date fatidique du 8 mars 2015 ? Qu'à cela ne tienne, vous resterez certes bien indemnisés en cas de sinistre: lien vers plus de détails, indique le comparateur Hyper Assur. Mais vous êtes prévenus, excepté le risque d'une intoxication mortelle (dans 80 % des cas) en cas d'incendie, « les contrats d’assurances pourront tout de même être revus à la hausse, les primes et les cotisations augmentées », précise le comparateur d'assurances.Jusqu'à 5 000 € de franchise.

Ainsi, les récalcitrants peuvent s'attendre à une franchise « allant jusqu’à 5 000 euros en cas d’incendie si le foyer touché n’est pas équipé ». De même, au cas où l’incendie cause des dégâts à des tiers, la responsabilité civile du propriétaire pourra être engagée. Pour s'assurer d'être couvert, Hyperassur conseille d'informer l'assureur « dès le détecteur de fumée installé, (…) en lui envoyant une attestation d’installation, souvent fournie avec l’appareil ». D’autant plus que la loi suggère aux assureurs d’accorder des remises sur les cotisations en cas d’installation du dispositif. Rappelons que quelque 250 000 incendies domestiques sont déclarés en France chaque année, causant 8 000 décès par an. Le coût du dispositif : de 12 à 60 euros environ….

LaVieImmo.com - ©2014 LaVieImmo du 23 janvier 2015

Le ministère des Finance annonce la mise en ligne de son simulateur de calcul d'impôt sur le revenu 2015. Ce nouvel outil permettra aux contribuables concernés de « calculer l’impôt qu’ils vont payer et d’en tenir compte dès à présent en modifiant leurs mensualités ou acomptes provisionnels ». Le gouvernement confirme par ailleurs la nouvelle baisse d'impôt sur le revenu pour les ménages aux revenus modestes ou moyens, issue de la loi de finances pour 2015.

« Afin de concentrer les effets de la mesure sur les ménages à revenus modestes et moyens, sans modifier l’impôt des autres contribuables, le seuil d'entrée dans la nouvelle première tranche d'imposition, au taux de 14 %, est avancé à 9 690 € par part ».

Bercy précise enfin que le plafond de la décote qui assure une entrée progressive dans l'impôt est relevé à 1 135 € pour les célibataires, et 1 870 € pour les couples.
Retrouvez le simulateur : lien vers le site du ministère --- lien vers le guide gratuit sur la loi Pinel pour réduire ses impôts... >>

LaVieImmo.com - ©2014 LaVieImmo du 21 janvier 2015

L'Agence nationale de l'habitat (Anah) dénombre 700 000 logements collectifs privés en copropriété en mauvais état, « soit 12,5 % de logements ».

Si cette proportion est inférieure de deux points à ce qui s’observe dans l’ensemble des résidences principales (14,1 % de logements estimés en mauvais état), « les situations diffèrent fortement en fonction des statuts d’occupation ; les locataires sont sensiblement moins bien logés ». L'agence précise qu'un propriétaire occupant sur trois est éligible à ses aides, « soit plus d'un million de ménages ».

Avec la nouvelle année, quelques changements sont attendus dans la pierre. Tant sur le front de l’accession à la propriété, de l’investissement locatif que de la fiscalité locale.

Dispositif Pinel élargi, TVA réduite dans le neuf dans certains quartiers, encadrement des loyers à Paris et surtaxe d'habitation pour les résidences secondaires… 2015 voit son lot de changements dans l'immobilier. Tour d’horizon des principales mesures auxquelles s'attendre.

Probablement la réforme la plus attendue. Le Budget pour 2015 a entériné une nouvelle durée d’engagement offerte à l’investisseur dans le neuf : outre 6 et 9 ans, il peut s’engager sur une durée de 12 ans, pour une réduction d’impôt respectivement de 12, 18 et 21 %. La mesure est applicable depuis le 1er septembre 2014. Mais dès le 1er janvier 2015, le dispositif s’ouvre aussi aux locations entre membres d’une même famille, ascendants ou descendants, pourvu qu’ils ne soient pas reliés au même foyer fiscal.

La mesure concerne des ménages modestes qui achètent des opérations d’accession sociale à la propriété réalisées dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Quelque 1 300 nouveaux quartiers prioritaires leur sont ouverts. Retrouvez la carte ici.

Le dispositif, restreint en 2012, est étendu à l'ancien à rénover. Sous condition : les travaux doivent y être éligibles, et le primo-accédant doit effectuer les travaux dans les trois ans à compter de l'acquisition du bien.

L’encadrement des loyers, mesure phare du programme de François Hollande, devrait voir le jour au début de l’année. La capitale fera office de pionnière, où l’Observatoire des loyers dans l’agglomération parisienne (Olap) sera chargé d’élaborer le dispositif. 15 à 20 % des loyers concernés pourraient ainsi baisser. D’autres communes de la région devraient emboîter le pas à la capitale dans les mois qui suivent.

Mauvaise nouvelle pour les détenteurs de résidences secondaires en zone tendue. Quelque 1 151 communes parmi les plus densément peuplées de France auront la possibilité d'augmenter de 20 % la part communale de la taxe d’habitation des logements meublés non affectés à l’usage d’une résidence principale. Le Conseil constitutionnel a validé la mesure figurant dans le Budget rectificatif pour 2014. Les communes qui choisissent d’actionner ce levier doivent le faire savoir avant la date de délibération des conseils municipaux, le 28 février 2015.

La loi du 9 mars 2010 impose d’installer un détecteur de fumée dans chaque logement, avant le 8 mars 2015 selon un décret de 2011. La loi Alur du 24 mars 2014 précise que c’est au propriétaire du logement loué de procéder à l’installation, et au locataire de veiller à son entretien. Le conseil de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) : en installer un dans chaque chambre et pièce à vivre.

Les valeurs locatives, qui servent de base aux impôts locaux (taxe foncière et taxe d’habitation), devraient débuter leur réactualisation en 2015. Un rapport sur cette question qui se faisait attendre depuis les années 1970 doit être remis au Parlement en septembre prochain. La fiscalité locale de certains endroits où l’on a beaucoup bâti devrait augmenter.

L'immobilier parisien baisse plus fortement que dans l'ensemble de la région.La capitale voit ses prix reculer de 1,7 % en trois mois à fin octobre, selon les notaires d’Ile-de-France. Et le mouvement ne devrait pas s’arrêter. Les prix de l’ancien fléchissent désormais davantage à Paris qu’en périphérie. Selon le dernier décompte des notaires, l’immobilier dans la capitale a perdu 1,7 % en moyenne sur un an à fin octobre, contre -1,6 % en Ile-de-France. Les prix restent néanmoins au-dessus de la barre des 8 000€/m² (8 050€/m²), mais plus pour longtemps. La tendance est en effet partie pour s’installer, anticipent les notaires d’après les avant-contrats de vente : « dans les prochains moins, l’accentuation de la baisse des prix, annoncée lors de notre conférence de presse de la fin novembre, se confirme ». Ces derniers prévoient un prix au m² « à 7 900 euros environ dans Paris en février 2015, soit une baisse de 2,2 % en 3 mois ». La région devrait elle aussi suivre, avec des baisses comprises entre 2,6 % et 3 % entre novembre 2014 et février 2015, toujours d'après la note de conjoncture.

D’août à octobre 2014, 35 450 biens ont changé de mains dans la région, en hausse de 5 % comparé à la même période en 2013.
En cause : « la fin de l’abattement exceptionnel de 25 % sur les plus-values. C’est particulièrement vrai dans la Capitale où les investisseurs, traditionnellement nombreux, ont profité du dispositif et provoqué un afflux ponctuel de ventes », indiquent les notaires. Mais au vu des promesses de vente, la fin de l’année devrait être, là encore, orientée à la baisse. LaVieImmo.com - ©2014 LaVieImmo du 18 décembre 2014

Paris : Préempter pour protéger "le caractère populaire" de certains quartiers

La mairie de Paris en dit plus sur son projet de « création de logements sociaux dans le diffus ». Alors que le Conseil de Paris se prononcera en début de semaine prochaine sur l’extension du droit de préemption urbain, la Ville confirme dans un communiqué que 257 immeubles sont concernés, situés dans les 2e, 10e, 11e, 12e, 15e, 17e, 18e et 20e arrondissements.

« Ces adresses ont été retenues en fonction de critères précis : être sous le régime de la copropriété, être situées dans une zone déficitaire en logement social et être un logement social de fait avec des loyers peu élevés et des locataires aux revenus modestes, explique la mairie. Concrètement, cela signifie qu’en cas de vente, Paris pourra racheter ces appartements, afin de les transformer en logements sociaux ».

Selon Ian Brossat, adjoint à la maire en charge du logement, explique que la mesure vise à « protéger le caractère populaire de quartiers soumis à une forte pression foncière », et à « éviter que des familles aux revenus modestes soient chassées de leur appartement quand celui-ci est mis en vente ».

Informations "la vie immobilière du vendredi 12 décembre 2014

3 raisons qui montrent que non seulement le « home staging » n’est pas un phénomène de mode, mais que ce service répond à une véritable attente.

Raison 1 : Le beau se vend mieux que le laid

Qu’on le veuille ou non, l’esthétique a pris une place importante dans notre société. Le marketing est partout. Quand on achète, on choisit le meilleur rapport qualité prix ; à coût équivalent : le plus beau téléphone, la chemise à la mode ou la voiture dans laquelle on se sent bien. Bizarrement, on ne fait proportionnellement pas d’efforts pour valoriser l’immobilier ancien alors que c’est l’achat le plus important qu’un Français fera dans sa vie.

A caractéristiques équivalentes (emplacement, superficie, prix), qu’est-ce qui fera qu’un acquéreur fera une offre sur cette maison plutôt que sur celle du voisin, elle aussi en vente ? L’acquéreur est avant tout un consommateur : il veut lui-aussi un « beau » produit.

Raison 2 : Un service parfait pour les agents immobiliers

Les responsables de réseaux immobiliers l’affirment : l’agent immobilier de demain doit apporter plus de services pour les vendeurs. Pour décrocher un « mandat exclusif », principal outil pour exercer et vivre correctement de son métier, il faut offrir de la compétence, de l’expérience et du service unique à des propriétaires toujours mieux informés.

Le home staging devient alors un véritable outil de différenciation. Car entre l’agent immobilier, le « home stagist » et le photographe spécialisé en immobilier, c’est une véritable équipe de professionnels qui va prendre en charge la vente du logement.

En plus, cerise sur le gâteau : le « home staging » facilite les ventes : plus de contacts et plus de visites, donc des ventes plus rapides et rentables.

Raison 3 : Un service déjà indispensable dans d’autres pays

En France, nous découvrons depuis quelques années seulement le concept du « home staging ». Mais nous ne sommes pas les précurseurs en la matière. Cette technique a été créée et développée dans les pays anglo saxons. En Australie par exemple, meubler une maison pour la vendre est un service courant qui n’étonne plus personne.

En résumé, à l’heure de la mondialisation, ce concept va devenir un standard en France car le « home staging », avant tout, c’est logique, c’est beaucoup de bon sens et ça répond à une attente des particuliers, vendeurs comme acquéreurs, et des professionnels de l’immobilier.

Informations "la vie immobilière du mardi 9 décembre 2014"

Les taux sont inférieurs à 3 % sur toutes les durées.Les taux ont marqué une pause en novembre en moyenne mais certaines enseignes ont procédé à des réajustements parfois marqués. Le mouvement pourrait bien se poursuivre dans les prochaines semaines. Meilleur taux met son baromètre à jour et constate que le mouvement de baisse des taux des crédits immobiliers s’est quelque peu tari en novembre 2014.

En moyenne, les banques partenaires du courtier en crédit accordent aujourd’hui des prêts à des taux de 2,40 % sur 15 ans et de 2,66 % sur 20 ans, contre respectivement 2,42 et 2,68 % il y a un mois.

Les banques rattrapent leur retard

Pourtant, « certaines enseignes » ont procédé à des « réajustements très marqués » de leurs barèmes afin de capter de nouveaux clients, explique Maël Bernier, porte-parole de la société. Ainsi, « une grande banque nationale dont les barèmes étaient au-dessus de la concurrence a abaissé l’ensemble de ses taux de 0,20 à 0,30 % afin de revenir dans le marché », tandis que « quelques caisses régionales mutualistes encore en retard » ont réduit les leurs de 0,10 à 0,15 %. Conséquence de ces ajustements, les taux à 25 ans sont désormais de 2,97 % en moyenne, en repli de 0,04 point par rapport au début du mois de novembre et en deçà de la barre symbolique des 3 % pour la première fois.

Sans dresser de prévision chiffrée, Meilleur taux estime que des réajustements ciblés pourraient se poursuivre dans les prochaines semaines, alors que « la baisse des taux longs de ces derniers jours redonne des marges de manœuvres aux établissements bancaires » qui seraient en retard sur leurs objectifs annuels ou voudraient préparer 2015.

Informations "la vie immobilière du lundi 1er décembre 2014"

Les loyers progressent de 3,1 % sur un an à Paris.

La hausse des loyers s’est accélérée à la fin de l’année dans la plupart des grandes villes.
Même si certaines laissent voir une stagnation, voire une baisse.

(LaVieImmo.com) - Les loyers de marché ont augmenté de 1,5 % en moyenne
en France sur les 10 premiers mois de 2014.

Mais ils ont baissé ou progressé moins vite que l’inflation (0,5 %) dans un quart
des 20 premières villes de France, indique l’observatoire Clameur* du marché
locatif présenté par Michel MOUILLART, professeur d'économie à l'Université Paris Ouest.

Ainsi, les loyers ont progressé plus vite que l’inflation dans les principales villes françaises : Paris, qui affiche une envolée de 3,1 %, mais aussi Bordeaux (+2,6 %), Lille (+2,4 %), Lyon (+1,6 %) ou Marseille (+1,3 %) sur un an en novembre.

A l’inverse, 10 villes de plus de 100 000 habitants voient leurs loyers avancer moins vite que l’inflation.
C’est le cas à Grenoble (+0,2 %), Nantes (+0,5 %) et Toulon (+0,3 %). Enfin, les loyers de marché ont légèrement baissé à Dijon (-0,1 %),
et reculé plus franchement à Saint Etienne (-4 %), précise Clameur.

L’activité du marché locatif, remontée à la rentrée, n’est dans l'ensemble pas aussi bonne qu’il y a trois ans.

  • « Le marché doit en effet composer avec une demande toujours inquiète et déprimée par la montée du chômage et les incertitudes sur le pouvoir d’achat », précise l’étude.

En témoigne la mobilité résidentielle des locataires, Ainsi, depuis le début de l’année 2014, la mobilité résidentielle est au plus bas depuis début 2010,
s’établissant à 26.2 % (contre 27,9 % en moyenne sur la période 1998-2014).

*Connaître les loyers et analyser les marchés sur les espaces urbains et ruraux

Les loyers dans les villes de plus de 100 000 habitants

29 villes où les loyers progressent plus vite que l’inflation

  • Villeurbanne : 13,2 €/m² (+7,6 %)
  • Metz : 9,9 €/m² (+4,0 %)
  • Montreuil: 16,6 €/m² (+4,0 %)
  • Nancy : 10,9 €/m² (+3,2 %)
  • Paris: 25,3 €/m² (+3,1 %)
  • Mulhouse : 8,4 €/m² (+3 %)
  • Angers : 10,5 €/m² (+2,8 %)
  • Nice : 15,5 €/m² (+2,6 %)
  • Bordeaux : 12,9 €/m² (+2,6 %)
  • Clermont-Ferrand : 10,1 €/m² (+2,5 %)
  • Lille : 13,5 €/m² (+2,4 %)
  • Besançon : 9,6 €/m² (+2,2 %)
  • Le Havre : 11,7 €/m² (+1,9 %)
  • Brest : 8,8 €/m² (+1,9 %)
  • Rennes : 12,4 €/m² (+1,8 %)
  • Reims : 11,6 €/m² (+1,8 %)
  • Boulogne-Billancourt : 21,8 €/m² (+1,8 %)
  • Lyon : 13 €/m² (+1,6 %)
  • Argenteuil : 15,7 €/m² (+1,5 %)
  • Orléans : 11,1 €/m² (+1,4 %)
  • Marseille : 12,6 €/m² (+1,3 %)
  • Le Mans : 8,7 €/m² (+1,3 %)
  • Strasbourg : 12,7 €/m² (+1 %)
  • Tours : 10,5 €/m² (+1 %)
  • Toulouse : 12 €/m² (+0,9 %)
  • Aix en Provence : 16,6 €/m² (+0,9 %)
  • Rouen : 11,8 €/m² (+0,9 %)
  • Montpellier : 14 €/m² (+0,8 %)
  • Caen : 12,3 €/m² (+0,8 %)

4 villes où les loyers augmentent, mais moins vite que l’inflation

  • Nantes : 11,9 €/m² (+0,5 %)
  • Toulon : 11,2 €/m² (+0,3 %)
  • Grenoble : 12,2 €/m² (+0,2 %)
  • Nîmes : 10,2 €/m² (+0,1 %)

6 villes où les loyers baissent

  • Dijon : 10,9 €/m² (-0,1 %)
  • Amiens : 11,8 €/m² (-0,5 %)
  • Limoges : 9,1€/m² (-0,8 %)
  • Perpignan : 9,8 €/m² (-1,4 %)
  • Saint-Denis : 15,3 €/m² (-3,4 %)
  • Saint-Etienne: 7,7 €/m² (-4 %)

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À Paris, la déprime des grands appartements :
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